Dès
la fin du XIXème siècle, on tape sur du bambou
et non plus sur les tambours en peau. L'évolution
de l'instrument se fait progressivement en fonction des
objets récupérés. Au milieu du XXème
siècle, les sons métalliques s'imposent.
Des Afro-antillais des quartiers pauvres de Port of Spain,
la capitale de l'île, expérimentent des formes
musicales à partir des bidons, dans un pays dont
la principale ressource est le pétrole.
On dit de Winston Spree Simon qu'il est le promoteur du
steeldrum sous sa forme achevée.
La
légende du steeldrum (expliquée
par Daniel Verba, auteur de Trinidad, Carnaval, Steelbands,
Calypso)
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